Fragment « Vanité » des Pensées.
A la mort de l’écrivain, on retrouva des liasses regroupant feuilles et fragments, l’ensemble étant bien loin de constituer un livre achevé. La famille de Blaise dut se battre pour que l’on publie les écrits dans leur aspect inachevé, et que l’on ne « corrige » pas les phrases dans un style plus lisible pour l’époque.